dimanche 28 décembre 2014

Appel à contribution « Habiter (la nuit) / Inhabiting (the night) », Revue Intermédialités, 2015, Will Straw, Luc Gwiazdzinski


Appel à contribution
« Habiter (la nuit) / Inhabiting (the night) »

pour le no 26 (automne 2015) de la revue Intermédialités : Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques

Sous la direction de :
Luc Gwiazdzinski (Université Joseph Fourier) et Will Straw (Université McGill)

Intermédialités est une revue référencée biannuelle qui publie en français et en anglais des articles évalués de façon anonyme par un comité de lecture.

Pour de plus amples informations sur la revue, vous pouvez consulter son site web [http://www.intermedialites.com], ainsi que ses anciens numéros accessibles en ligne sur la plateforme Erudit [http://www.erudit.org/revue/im/apropos.html]

Les articles soumis ne doivent pas dépasser 6 000 mots (40 000 caractères espaces compris) et peuvent comporter des illustrations (sonores, visuelles, fixes ou animées).

Il est demandé aux auteurs d’adopter les normes du protocole de rédaction de la revue disponible à l’adresse suivante : http://cri.histart.umontreal.ca/cri/fr/intermedialites/protocole-de-redaction.pdf

Les articles doivent être envoyés aux deux directeurs du numéro thématique, aux adresses suivantes : William Straw [william.straw@mcgill.ca] et Luc Gwiazdzinski  [luc.gwiazdzinski@ujf-grenoble.fr]
Date de remise des articles : 1er septembre 2015.

Thème :  
La dernière décennie a vu l’émergence d’un nombre important de travaux scientifiques traitant de la nuit urbaine. Des approches historiques larges telles que celles de Wolfgang Schivelbusch, Simon Delattre ou Joachim Schlör ont été suivies par des études plus spécialisées dans des disciplines telles que l’urbanisme, la géographie, la conception de l’éclairage, l’histoire du divertissement ou les études culturelles.
Les gouvernements des villes à travers le monde s’orientent vers l’élaboration de politiques de contrôle ou d’ouverture de la nuit. Différents acteurs se mobilisent pour produire des « manifestes » ou interviennent dans l’élaboration de diagnostics au sujet de la nuit urbaine. Colloques et rencontres scientifiques se multiplient souvent en collaboration avec des groupes communautaires ou avec les gouvernements des villes.
Au milieu de ce tourbillon d’initiatives, la question du rapport entre nuit urbaine et médias reste peu développée comme objet d’investigation.
Les histoires de la nuit urbaine mettent surtout l’accent sur le rôle de l’électrification dans la transformation des espaces nocturnes de travail, d’interactions sociales et de vie culturelle. Cependant, le lien entre ces transformations et les changements survenus au sein des économies de l’information et dans les formes d’expression culturelle reste peu étudié. Si les grands  médias du 20ème siècle (le cinéma, la radio, la télévision et le journal à grand tirage) ont occupé différents créneaux horaires du cycle de 24 heures cet aspect de leur insertion dans la vie sociale et industrielle nous invite à poursuivre l’analyse, et à tenir compte du fait, qu’aujourd’hui, l’augmentation des systèmes de contenu à la demande et la généralisation de l’Internet entrainent un désengagement des médias sur des temps particuliers, et des modifications conséquentes dans le cycle de 24 heures lui-même.
De quelle manière, la ville la nuit agit-elle sur les formes médiales elles-mêmes et intervient-elle en elles ? La nuit a été envisagée, dans des œuvres poétiques et scientifiques, comme territoire, « parenthèse » dans le cycle des 24 heures, substance et scène. De même, la nuit est à la source de catégories distinctes d’expression artistique, comme le montrent les ambiances nocturnes visuelles et sonores  qui constituent le genre même du film noir. Récemment, des cartographies de la nuit urbaine offrent des moyens élaborés de rendre compte de la nuit en termes visuels ou audiovisuels. Tous ces traitements de la nuit sont engagés, explicitement ou implicitement, dans la définition d’une économie plus large de la nuit qu’il nous faut explorer.

Habiter (la nuit) réunira des textes portant sur les diverses façons dont la nuit urbaine est traitée par les médias qui la cartographient, la structurent, la représentent et la transforment.


Call for submissions
« Habiter (la nuit) / Inhabiting (the night) »
Articles are invited for the volume (number 26, Fall 2015)

A thematic issue of the journal
Intermédialités:  Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques /
Intermediality: History and Theory of the Arts, Literature, and Technologies

Issue editors:
Luc Gwiazdzinski (Université Joseph Fourier), Will Straw (McGill University)

For more information on Intermédialités/Intermediality please visit the journal website at http://www.intermedialites.com
Issues of the journal are available through the on-line portal Erudit : http://www.erudit.org/revue/im/apropos.html

Intermédialités/Intermediality is a refereed, bilingual journal and we invite submissions in French and English.  Authors are requested to follow the protocol for submitted manuscripts at http://cri.histart.umontreal.ca/cri/fr/intermedialites/protocole-de-redaction.pdf

Submissions should be no longer than 6,000 words (40,000 characters, including spaces), could include audio, visual, still or animated illustrations when appropriate, and should be sent as email attachments to the issue editors:
Luc Gwiazdzinski – luc.gwiazdzinski@ujf-grenoble.fr
Will Straw - william.straw@mcgill.ca

Deadline for submissions:  September 1, 2015

Description:
The last decade has seen a significant number of scholarly works dealing with the urban night.  Broad histories such as those of Wolfgang Schivelbusch, Simon Delattre and Joachim Schlör have been followed by more specialized studies from within such disciplines as urban policy, geography, lighting design, entertainment history and cultural studies.  City governments throughout the world are moving to devise policies to control or open up the night. Activists have moved explicitly to produce “manifestos” or other interventions aimed at the status of the urban night.  Colloquium and other scholarly meetings, often in collaboration with community groups or city governments, have proliferated.
Amidst this flurry of activity, the status of the urban night in relation to media forms remains undeveloped as an object of investigation.  Histories of the urban night will stress the role of electrification in transforming the spaces of nocturnal labour, interaction and culture, but the place of these transformations within shifting economies of information and cultural expression remains under-examined.
Although the great media forms of the 20th century (cinema, radio, television and the mass-circulation newspaper) occupied particular intervals within the 24-hour cycle, this aspect of their social-industrial life invites further analysis.  So, too, does the effect on the 24-hour cycle of the disengagement of media from punctual parts of that cycle, through the rise of content-on-demand systems and the generalization of the Internet.
In what ways, this issue will ask, is the urban night implicated within medial forms.  The night has been conceptualized, within poetic and scholarly works, as territory, parenthesis, substance and scène:  Likewise, the night has inspired distinctive categories of artistic expression, from the musical and visual nocturne through the film noir.  Recently, cartographies of the urban night offer increasingly complex ways of rendering that night in visual or audiovisual terms.  All of these treatments of the night are engaged, explicitly or implicitly, in defining a broader expressive economy of the night.
Habiter (la nuit) will bring together texts which examine the variety of ways in which the urban night is marked by those media which map, structure, represent and transform it.

mercredi 17 décembre 2014

"L'hybridation des Alpes", 2ème Université des Alpes, Megève, 19-20 septembre 2014

"L'hybridation des Alpes", 2ème Université des Alpes, Megève, 19-20 septembre 2014
extrait Alpes magazine

Retour sur les débats de la 2ème Université des Alpes, Megève, 19-20 septembre 2014 portée par Olivier Turquin avec Martin Vanier, Thierry Ménissier, Antoine Baecque, Luc Gwiazdzinski

Extrait Alpes Magazine

Prix de la jeune recherche :

(1er prix)
Florent Cholat, Master 2 Innovation et territoire,  Le vieillissement en montagne : qui est dépendant de qui ? Université Grenoble Alpes - Laboratoire Politiques publiques, ACtion politique, TErritoires (PACTE).

Lauranne Jacob, doctorante en Géographie, Gouverner la frontière en montagne : de l’hybridation à l’innovation - Université de Grenoble Alpes et Université de Genève - Laboratoires PACTE, CERDHAP et LABEX ITEM.

Antoine Tabourdeau, doctorant en Géographie, Les Alpes font feu de tout bois : frictions autour du bois énergie.  - Université Grenoble Alpes - Laboratoire PACTE et IRSTEA.



"Il faut développer la ville malléable", Interview, Luc Gwiazdzinski, L'Express, 16 décembre 2014

Strasbourg: "Il faut développer la ville malléable"
Interview, L'Express, 16 décembre 2014

Strasbourg doit-elle devenir plus festive la nuit pour mériter son statut de capitale européenne?
C'est nécessaire si elle veut rester dans la course. Une ville qui attire et se développe a forcément une activité nocturne. Le marketing nocturne, ça existe!

L'image de Strasbourg n'est-elle pas à la hauteur?
Il y a eu un début d'évolution. Depuis quelques années, par exemple, les cartes postales présentées en ville ont évolué. Autrefois, 90% des images étaient prises de jour. Aujourd'hui, avec l'éclairage des monuments, les représentations nocturnes sont devenues plus nombreuses.

Mais la vie nocturne n'est pas qu'une affaire de touristes. C'est d'abord une question de bien-être pour les citadins...
C'est une question de société. La nuit est une caricature du jour. Si on arrive à régler les conflits du vivre ensemble la nuit, on arrivera d'autant mieux à les régler le jour. Les SDF, qui sont déjà exclus de jour, sont ­totalement hors course la nuit. A l'inverse, un citadin bien intégré en journée grâce aux réseaux sociaux aura une infinité de choix s'il veut passer une bonne soirée...

Quels changements avez-vous observé dans les comportements nocturnes?
Les gens consomment la ville différemment. On leur interdit de fumer dans les bars? Ils sortent dans la rue. Le téléphone portable a aussi changé les choses. Jusqu'au dernier moment, on ne sait pas où l'on va. Un coup de fil permet de connaître les lieux animés et de s'y rendre. Les soirées se nomadisent. Ces pratiques, il est impossible de les organiser.

Doit-on séparer les lieux de vie de la journée et ceux de la nuit pour disposer d'une ville apaisée?
On a beaucoup travaillé sur du développement urbain séparé: un endroit où l'on dort, un autre où l'on travaille, un troisième où l'on s'amuse, un dernier où l'on s'approvisionne. L'industrie, l'artisanat et la culture, moteur de la vie nocturne, ont été sortis de la ville. Si on continue ainsi avec les restaurants et les bars, on va finir par la tuer!

Quelle serait la solution?
La nuit, c'est un temps habité. Strasbourg doit enfin organiser ses états généraux de la nuit, comme Paris ou Lausanne. On y inviterait les étudiants, les associations, les personnes âgées, les représentants de la chambre de commerce pour un diagnostic participatif. Une solution innovante que les Strasbourgeois n'ont pas encore exploitée.

Cette intelligence collective peut- elle aussi régler les problèmes d'engorgement en journée?
Oui, bien sûr. Les premières politiques temporelles sont apparues en Italie. Strasbourg a mis en place un bureau du temps, c'est un premier pas. Je développe l'idée d'une ville malléable. Il faut arrêter de construire un bâtiment par fonction. L'exemple criant, c'est celui du Parlement européen. Il n'est utilisé que trois jours et demi par mois, on aurait pu faire beaucoup mieux! Faisons en sorte que les bâtiments existants servent à une chose différente le matin, l'après-midi, le soir et la nuit.

Votre concept de ville malléable peut-il fonctionner vingt-quatre heures sur vingt-quatre?
Tout à fait. Une place de mairie peut, le soir, devenir un terrain de football. Avec un mobilier urbain qui se transforme, elle pourrait même devenir une scène de théâtre. Aujourd'hui, quand on a l'idée d'un théâtre, on fabrique un "objet célibataire", on le pose en périphérie, on s'y rend un soir et, le reste du temps, il ne fonctionne pas. Il faut réinventer de nouvelles règles pour que les habitants des grandes villes puissent travailler ensemble sur la succession des activités, de nuit comme de jour. Les artistes peuvent nous aider à repenser l'espace public.


En savoir plus sur :
http://www.lexpress.fr/region/alsace/strasbourg-il-faut-developper-la-ville-malleable_1630560.html#j1vmZB0FrsDmjgM3.99

samedi 13 décembre 2014

Habiter la nuit urbaine, Luc Gwiazdzinski, Revue Esprit, décembre 2014


Début du texte
Nocturnes dans les magasins et les musées, travail de nuit, amplitude horaire des transports : la nuit serait-elle en train de devenir un simple prolongement du jour ? Le fantasme de la « ville 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 » risque de détruire la fragilité et l’originalité de la nuit. Comment contrôler ces évolutions, en voyant aussi ce que la nuit peut apporter au jour ?En ce début de xxie siècle,...

Plan de l'article
Territoire sous pression
Innovations
Émergence d’un espace public nocturne
Comment habiter la nuit ?
Quand la nuit illumine le jour

Habiter la nuit urbaine, Luc Gwiazdzinski
Revue Esprit
2014/12 (Décembre)
Pages : 160
ISBN : 9791090270541
DOI : 10.3917/espri.1412.0046
Éditeur : Editions Esprit
http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=ESPRI_1412_0046#anchor_plan

Film débat "Changeons de rythme", Revue Esprit, La gaîté lyrique, Paris, 11 décembre 2014

Changeons de rythme!

La Gaîté lyrique
Sommes-nous dans l’accélération perpétuelle de notre rythme de vie ? Faut-il accélérer encore ou ralentir ? La question des rythmes et de leur déconnexion se pose particulièrement dans les villes, où vie professionnelle, vie familiale, temps de loisirs semblent difficiles à accorder, à l’heure du numérique et de la mondialisation. Des géographes et des urbanistes débattent de la manière dont on peut reconquérir le temps.

Luc Gwiazdzinski : géographe, Université Joseph Fourier de Grenoble (IGA)

Sandra Mallet, Université de Reims Champagne/Ardenne

Débat animé par Alice Béja (revue Esprit)

http://esprit.presse.fr/news/meeting/detail.php?code=107

voir pour présentation de l'ouvrage Manifesto da Noite
http://www.colaboratorio.art.br/cronourbanismo/manifesto-da-noite/

vendredi 12 décembre 2014

Nos institutions à bout de souffle, ouvrage d'Olivier Frérot

"Nos institutions publiques se sont édifiées sur les fondations philosophiques de la science et la raison. En ce début de XXIème siècle, elles se fissurent sous l’effet de l’effondrement de la croyance au Progrès, des catastrophes environnementales, ainsi que de la découverte progressive de l’incomplétude radicale des mathématiques, donc de toute science et par conséquent de toute modélisation.

Le texte prend comme point de départ les difficultés actuelles de la conduite des projets d’infrastructures autoroutières qui illustrent la paralysie des corps techniques de l’état, fleurons des institutions républicaines depuis 300 ans. Ces institutions qui ont incarné la toute-puissance de la technoscience et de la finance, se montrent dorénavant incapables d’inventer de nouvelles méthodes intégrant les contradictions dynamiques de la société. Le problème est structurellement insurmontable, nos institutions publiques s’essoufflent.

La thèse défendue dans ce livre consiste à affirmer que la croyance aveugle en la puissance opératoire de la science et de la raison non contradictoire, autrefois efficace, est désormais épuisée. Nos institutions publiques sont-elles réformables ? La réponse est ici négative.
Basées sur la discrétion, la fragilité, la simplicité, l’ouverture, la solidarité, capables d’accueillir l’incertitude structurelle et structurante du quotidien, de nouvelles germinations au cœur de notre société sonnent le glas de la période historique de la Modernité et annoncent son basculement vers un monde plus ouvert, permettant de reprendre confiance en l’avenir. Leur émergence apparaît comme un mouvement inéluctable.

Olivier Frérot interroge ici les fondements de nos institutions publiques au croisement de plusieurs disciplines, la science, la technologie, la philosophie et l’économie. Au-delà de son expertise d’ingénieur nourrie de philosophie, il adopte le parti-pris du citoyen, qui dénonce les dérives de la suprématie de la techno-raison menaçant nos démocraties, et accueille les changements à la marge de notre société comme autant de signes qu’une ère nouvelle s’ouvre à nous.

Pour recevoir ce livre, envoyez ce coupon à
« Nos institutions publiques à bout de souffle »
22 rue Emile Combes 69008 Lyon
accompagné du chèque libellé à l’ordre d’Olivier Frérot.
Tarif : 12 € + 3 € forfaitaires de port. Format15cmx22cm
252 pages
Nom et adresse d’expédition, email :

mercredi 10 décembre 2014

Conférence Lou Burnard : "Ceci n'est pas une pipe : l'importance de la modélisation pour les humanités numériques", 16 décembre

Conférence Avenue centrale, rendez-vous en sciences humaines
Lou Burnard : "Ceci n'est pas une pipe : l'importance de la modélisation pour les humanités numériques"
mardi 16 décembre, 12:15
1221 Avenue Centrale - Domaine Universitaire, 38040 St-Martin-d'Hères
http://www.avenue-centrale.fr/

Vidéo "Objet de mes recherches", UJF, Luc Gwiazdzinski (UMR 5194 CNRS), La ville la nuit, décembre 2014

Video travaux de recherche sur la ville la nuit, Luc Gwiazdzinski, Laboratoire Pacte (UMR 5194 CNRS), UJF IGA


lundi 8 décembre 2014

GWIAZDZINSKI L., 2014, « The malleable,
 adaptable metropoles: towards a temporary
and temporal urbanism », STREAM n° 3, pp.51-63


Sortie du Manifeste de la nuit, Sao Paulo, Novembre 2014








Grenoble et Sao Paulo suppriment la publicité dans l'espace public


Rapport sur "Le travail dominical et nocturne à Paris - états des lieux et perspectives", mission d'information et d'évaluation (MIE), Conseil de Paris en juin 2014.

Créée par le Conseil de Paris lors de sa séance des 16 et 17 juin 2014, la mission d’information et d’évaluation (MIE) sur « Le travail dominical et nocturne à Paris – état des lieux et perspectives » avait été demandée par le groupe socialiste et apparentés en réponse à un souhait exprimé début mai par la maire.

Cette MIE s’est vue assigner pour objectif d’évaluer les dispositifs législatifs en vigueur autorisant le travail dominical et nocturne, mesurer les impacts économiques et sociaux d’une extension éventuelle des dérogations en la matière, et conduire une large consultation auprès des acteurs concernés (organisations professionnelles et consulaires, syndicats de salariés, associations de riverains, de commerçants, de consommateurs, associations familiales, féminines, autorités religieuses, experts, etc.).

La mission a ainsi rencontré 132 personnes et pris en considération la position de 80 organismes émanant des horizons les plus divers pour élaborer ce rapport articulé autour de quatre parties :
- la première partie fixe le cadre juridique du travail dominical et du travail nocturne en mettant en lumière sa complexité et son caractère relativement strict.
- la deuxième partie présente un état des lieux de la situation parisienne et esquisse quelques perspectives en matière d’évolution sociétale.
- la troisième partie dresse un bilan des auditions et des entretiens réalisés par la mission qui révèle des positions souvent antagonistes.
- la quatrième partie formule enfin des préconisations portant sur l’évolution souhaitable de la situation parisienne et du cadre législatif et réglementaire.

LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES

Catherine BARATTI- ELBAZ
Jérôme COUMET
Brigitte KUSTER
Eric LEJOINDRE
Karl GHAZI
Bernard DEMARCQ
Céline CARLEN
Christophe DAGUE
Laurent BIGOT
Sylvie HEBERI
Françoise RUOTTE
Françoise NICOLETTA
Bertrand VINCENT
Christophe LE COMTE
Gilles GATHELIER
Eric MAMOU
Bernard LACHAUX
Georges DAS NEVES
Eric SCHERRER
Laurent DEGOUSEE
Jean-Claude BIGEL
Sylvain ALIAS
Yves LACHERET
Marie-Sophie CLAVERIE
François REMOUÉ
Yves DEVAUX
Luc GWIAZDZINSKI
Emmanuelle LALLEMENT
Jean-Yves BOULIN
Laurent VILBOEUF
Marc-Henri LAZAR
Eric GUERQUIN
Mériadec RIVIERE
Jacques CREYSSEL
Claude RISAC
Gérard DOREY
Bernard BOUCAULT
François GUICHARD
Noël CORBIN
Régine ENGSTRÖM
Matthieu CLOUZEAU
Antoine CHINES
Philippe HANSEBOUT
Franck MOREL


http://www.paris.fr/politiques/conseil-de-paris-debats-deliberations/mie/rapport-m-i-e-sur-le-travail-dominical-et-nocturne-a-paris/rub_10153_stand_151534_port_25515

dimanche 7 décembre 2014

Changeons de rythme, Débat de la revue Esprit, Jeudi 11 décembre 2014, 19h00, La Gaîté Lyrique, Lussault, Mallet, Gwiazdzinski

Débat, Changeons de rythme !
Les débats d'Esprit
Jeudi 11 Décembre 2014 à 19h19
http://gaite-lyrique.net/debat/changeons-de-rythme

Sommes-nous dans l’accélération perpétuelle de notre rythme de vie ? Faut-il accélérer encore ou ralentir ? La question des rythmes et de leur déconnexion se pose particulièrement dans les villes, où vie professionnelle, vie familiale, temps de loisirs semblent difficiles à accorder, à l’heure du numérique et de la mondialisation. Des géographes et des urbanistes débattent de la manière dont on peut reconquérir le temps.

avec

Luc Gwiazdzinski : géographe, enseignant en aménagement et urbanisme à l’Université Joseph Fourier de Grenoble (IGA)

Michel Lussault : géographe, professeur à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon et président du Conseil supérieur des programmes

Sandra Mallet : Maître de conférences en aménagement et urbanisme à l’Université de Reims Champagne/Ardennes

Débat animé par Alice Béja ( la revue Esprit )